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L’Institut Bergonié est le Centre régional de Lutte Contre le Cancer (CLCC) de la Nouvelle-Aquitaine.

C’est un Etablissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif (ESPIC) depuis le décret du 20 mai 2010, en application de la loi HPST du 22 juillet 2009.

Depuis plus de 100 ans, il contribue au progrès médical et au rayonnement international de la recherche en matière de prévention, de dépistage et de traitement du cancer, une maladie chronique devenue deuxième cause de décès dans le monde (près d’1 décès sur 6 en 2015, soit plus 8 millions de morts)[1].

L’Institut Bergonié, comme les 17 autres centres de lutte contre le cancer, est chargé d’une triple mission de soins, de recherche et d’enseignement, dans une pratique de pluridisciplinarité dans l’ensemble de ces domaines.

Son modèle est basé sur la continuité entre la recherche fondamentale et les soins. Fondé sur le rapprochement des chercheurs, des soignants et des patients, il permet d’accélérer la mise à disposition des diagnostics et des traitements nouveaux.

Près de 1000 collaborateurs, dont plus d’une centaine de médecins, permettent d’assurer ces différentes missions.

[1] Organisation Mondiale de la Santé (2017). Aide-mémoire « Cancer », N°297, mars 2017.

Missions SOINS

Les activités de soins de l’Institut Bergonié permettent une prise en charge multidisciplinaire (médecine, chirurgie, radiothérapie) et globale (soins de support, parcours) des patients atteints de cancer.

L’Institut comporte 159 lits dont 33 places d’hospitalisation de jour et 10 lits de chirurgie ambulatoire.

L’Institut Bergonié constitue, avec le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Bordeaux, le Pôle Régional de Référence en Cancérologie d’Aquitaine depuis 2016. Cette collaboration a pris la forme d’un Groupement de Coopération Sanitaire appelé « Pôle Aquitain de Recours en Cancérologie » (GCS « PARC »).

Cela signifie que les objectifs médicaux de l’Institut doivent être :

– cohérents avec ceux du CHU de Bordeaux ;

– complémentaires de ceux des autres établissements de santé d’Aquitaine prenant en charge des patients atteints du cancer, dans le cadre du Schéma Régional de l’Organisation des Soins (SROS) fixé par l’Agence Régionale de Santé (ARS) ;

– d’assurer la mission de recours et d’expertise pour les situations complexes, dans une logique de gradation des soins.

Chiffres RA 2020

Missions RECHERCHE

L’Institut Bergonié a une mission d’innovation, de veille technologique et de développement thérapeutique, ce qui implique de prendre en charge les patients pour lesquels on doit pouvoir proposer les procédures et les techniques les plus modernes.

Le programme de recherche mené par l’Institut recouvre différentes activités, dont :

  • un centre d’essais cliniques de phase précoce (CLIP2) qui bénéficie d’une labellisation de l’INCa ;
  • le programme de recherche intégrée SIRIC BRIO (« Bordeaux Recherche Intégrée Oncologie ») en collaboration avec, entre autres, des équipes du CHU de Bordeaux, de l’Université de Bordeaux et d’institutions de recherche comme l’INSERM et le CNRS;
  • une unité INSERM ACTION U1218 (Actions for Oncogenesis understanding and Target Identification in Oncology) qui travaille sur trois thématiques : génétique et biologie des sarcomes ; diversité génétique et résistance au traitement (oncogenèse mammaire et leucémique) ; identification et validation de nouvelles cibles en oncologie des personnes âgées ;
  • et différentes structures de recherche associées, comme l’équipe INSERM «Epidémiologie des cancers et expositions environnementales » (Epicene).

La gouvernance des activités de recherche est structurée autour de deux instances : un Conseil Scientifique Externe est consulté sur la stratégie et les choix dans les activités de soins et de recherche ; la recherche clinique est orientée par un Conseil Scientifique Interne et coordonnée par un Comité de pilotage de la recherche clinique, animé par le directeur de la recherche.

Mission ENSEIGNEMENT

L’Institut Bergonié assure des missions d’enseignement médical et paramédical pour les différents métiers au service du patient, en lien étroit avec l’UFR Sciences Médicales et le Collège Sciences de la Santé de l’Université de Bordeaux, plusieurs médecins ayant une double appartenance universitaire et hospitalière, et paramédical pour les différents métiers au service du patient.

Notre volonté est de placer le patient au centre de nos préoccupations, dans sa globalité, sa santé d’abord, puis sa vie sociale et son confort de vie.
Innovons pour l'avenir !

Quel a été votre parcours ?

Je suis clinicien de formation, docteur en médecine, docteur en sciences de la vie et de la santé, professeur des universités et praticien hospitalier depuis 2002. Très vite après l’internat, je me suis orienté vers le monde du laboratoire. J’ai exercé des fonctions de professeur avec une activité universitaire et une activité hospitalière en dirigeant le laboratoire d’hématologie du CHU de Bordeaux. J’ai toujours conservé une pratique clinique sous forme de consultations dans le service des maladies du sang du CHU de Bordeaux, mais aussi à l’Institut Bergonié.

Ma formation de chercheur a été acquise à l’étranger, auprès du Professeur John GOLDMAN  à l’Imperial College et au Hammersmith Hospital de Londres. J’ai dirigé également l’équipe « Hématopoïèse leucémique et cibles thérapeutiques » au sein de l’Unité INSERM U1035, et rejoint l’unité INSERM U916 de l’Institut Bergonié pour diriger une équipe sur l’Oncogenèse mammaire et leucémique. Je suis expert auprès de plusieurs journaux scientifiques, avec près de 180 articles dans des journaux internationaux. “ Président du groupe Français de la Leucémie Myéloïde Chronique et membre d’une dizaine de sociétés savantes, plusieurs prix et distinctions ont ponctué ma carrière (Prix Henri Choussat, Médaille de la ville de Bordeaux, Prix du European Leukemia Net). ”

Comment voyez-vous l’évolution de l’Institut ?

La construction d’un nouveau bâtiment d’intervention et de chirurgie, appelé Pôle Josy Reiffers, représente un projet ambitieux qui prend en compte les évolutions de la cancérologie moderne : le développement de la chirurgie ambulatoire, de la radiothérapie hypo-fractionnée, de la chimiothérapie orale, de la caractérisation moléculaire des tumeurs, de la radiologie interventionnelle et des soins de support. Sur le plan de « l’ancrage territorial » de l’Institut Bergonié, la validation récente de la création du Groupement de Coopération Sanitaire – Pôle Aquitain de Recours en cancérologie (GCS –PARC) apporte un cadre juridique nouveau au CHU de Bordeaux et à l’Institut Bergonié pour favoriser et développer un travail collaboratif dans les domaines de la cancérologie pour lesquels ils disposent en commun d’un niveau reconnu d’expertise et d’innovation. L’Institut va participer également au Contrat Local de Santé (CLS) métropolitain, engagé par Bordeaux Métropole et l’Agence Régionale de Santé Aquitaine Limousin Poitou-Charentes (ALPC).

Et dans le cadre des nouvelles régions ?

“ S’agissant de la coopération intra et interrégionale, l’Institut Bergonié privilégie clairement deux orientations pour répondre au continuum Soins, Enseignement, Recherche (missions fondatrices du Centre). ”

Pour l’intra-régional : un lien renforcé avec les deux CHU de Limoges et de Poitiers nouvellement intégrés à la Nouvelle Aquitaine, une association aux Groupements Hospitaliers de Territoire (GHT) de la nouvelle région dont la cartographie est susceptible d’être connue en juillet 2016 (le plus souvent, les GHT prendront une dimension départementale). Dans les deux cas, il s’agira de définir dans les filières de soins en cancérologie les apports de l’Institut Bergonié pour les prises en charge des patients relevant des CHU préexistants et des différents GHT créés.

Pour l’inter-régional : la préférence marquée de l’Institut Bergonié est de créer un lien constructif avec les deux Centres de Lutte contre le Cancer de la Région Midi-Pyrénées Languedoc Roussillon (c’est-à-dire Toulouse et Montpellier). Ce choix correspond à une logique historique et culturelle inscrite dans les pratiques existantes au sein du Cancéropôle Grand Sud-Ouest et la gestion de l’internat sur l’inter-région (Bordeaux, Toulouse, Limoges) et une coopération naturelle des équipes médicales des sites concernés.

Et plus loin encore ?

Nous sommes aussi aux portes de l’Espagne, nous avons déjà établi des liens par l’intermédiaire de la Recherche avec Madrid ou encore Bilbao. Je pense que pour cela, nous aurons un appui important de l’Université car la Recherche est aussi un de nos défis. Nous partageons et sommes sur la même longueur d’ondes avec le Professeur Pierre SOUBEYRAN, Directeur du SIRIC BRIO et de l’Unité INSERM ACTION. Nous avons également de nombreuses coopérations ou collaborations avec des établissements internationaux, près d’une vingtaine.

L’ Institut Bergonié est le Centre de Lutte Contre le Cancer (CLCC) de la Nouvelle-Aquitaine. Il est au service de près de six millions d’habitants.
L’Institut Bergonié est doté de différentes instances : le Conseil d’Administration, la Direction Générale, le Conférence Médicale et le Comité Social et Economique.

CONSEIL D'ADMINISTRATION

Administrateurs :
Président du Conseil d’Administration :
M. Jean-Sébastien LAMONTAGNE, Préfet de la Dordogne
M. Yann BUBIEN, Directeur Général, CHU de Bordeaux
M. Emmanuel BUSSIERES, Personnalité scientifique
M. le Professeur Pierre DUBUS, Directeur, UFR de médecine de Bordeaux
M. Elie PEDRON, Représentant du Conseil Économique Social et Environnemental Régional de la Nouvelle-Aquitaine
M. le Professeur Fabrice BARLESI, Personnalité qualifiée
Mme le Docteur Dany GUERIN, Personnalité qualifiée
M. le Professeur Roger MARTHAN, Personnalité qualifiée
Mme le Docteur Catherine DONAMARIA, Présidente de la CME
M. le Docteur Frédéric GUYON, Représentant la CME
M. le Docteur Olivier BERNARD, Représentant le personnel collège cadre
M. Hervé SCOLAN, Représentant le personnel collège non cadre
Mme Marie LAURENT-DASPAS, Représentant les usagers
Mme Nathalie SUCCO, Représentant les usagers

Participants :
M. le Professeur François-Xavier MAHON, Directeur Général du Centre
Mme Céline ETCHETTO, Directrice Générale Adjointe du Centre
M. Nicolas DEGAND, Directeur des Affaires Financières du Centre
Mme Florence RANOUX, Commissaire aux comptes
M. Benoît ELLEBOODE ou son représentant, Directeur Général de l’ARS Nouvelle-Aquitaine
Un Représentant de la CPAM Gironde

DIRECTION

M. le Professeur François-Xavier MAHON, Directeur Général de l’Institut Bergonié
Mme Céline ETCHETTO, Directrice Générale Adjointe
M. le Professeur Pierre SOUBEYRAN, Directeur de la Recherche
M. le Docteur Jean-Pierre GÉKIÈRE, Direction des Affaires Médicales

CONFÉRENCE MÉDICALE

2024 – 2027

  • Représentants choisis par les départements : 9 Titulaires et 9 Suppléants

Département Anesthésie-Réanimation (1 titulaire et 1 suppléant)

Titulaire : Dr B. RICHEZ

Suppléant : Dr C. LALUQUE (rempl par Dr P. CLAPSON)

Département de Chirurgie (1 titulaire et 1 suppléant)

Titulaire : Dr D. ADAM

Suppléant : Dr G. BABIN

Département de BioPathologie (1 titulaire et 1 suppléant)

Titulaire : Dr I. SOUBEYRAN

Suppléant : Dr S. CROCE

Département de Pharmacie (1 titulaire et 1 suppléant)

Titulaire : Dr : C. DONAMARIA

Suppléant : Dr M. TEYTAUD

Département du PRISME & DRCI (1 titulaire et 1 suppléant)

Titulaire : Dr L. POIGNIE

Suppléant : Dr A. MONNEREAU

Département d’Imagerie Médicale (1 titulaire et 1 suppléant)

Titulaire :  Dr F. CHAMMING’S

Suppléant : Dr Y. GODBERT

Département de Radiothérapie (1 titulaire et 1 suppléant)

Titulaire : Dr P. GILLON

Suppléant : Dr S. BATARD

Département d’Oncologie Médicale (2 titulaires et 2 suppléants)

Titulaires :  Dr S. PERNOT & Dr E. BLOUDEAU

Suppléants :  Dr L. HAIK / Dr S. MORIN

  • 2 membres de droit 

Coordonnateur Département Qualité et Gestion des risques :

Dr F. BOYER

Le praticien référent de l’Information Médicale – DIM :

Dr N. CABON-ASENCIO

  • 5 membres désignés par le Directeur Général
  1. Pr A. ITALIANO
  2. Dr F. GUYON
  3. Pr N. SEVENET
  4. Dr B. LORTAL
  5. Pr S. MATHOULIN-PELISSIER

Les missions de la conférence médicale (CM)

Le décret n° 2010-1325 du 5 novembre 2010 décrit les principales missions de la Conférence Médicale.
La Conférence Médicale est consultée sur :

  • La politique médicale de l’établissement, le projet médical ainsi que les éléments du contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens qui s’y rapportent,
  • Les prévisions annuelles d’activités,
  • Le règlement intérieur de l’établissement.

La Conférence Médicale contribue à l’élaboration de la politique d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins au travers de la gestion des risques, de la lutte contre les infections nosocomiales, de la politique du médicament et des dispositifs médicaux stériles, de la prise en charge de la douleur ou du développement continu et de l’évaluation des pratiques professionnelles.
Elle contribue à l’élaboration de projets relatifs aux conditions d’accueil et de prise en charge des usagers.
En dernier lieu, la Conférence Médicale propose un programme d’actions en lien avec l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins avec l’élaboration d’indicateurs de suivi ; il en résulte un rapport annuel d’activités de la Conférence Médicale sur le bilan de la politique d’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins.

COMITÉ SOCIAL ET ECONOMIQUE (CSE)

2023 – 2027

Premier collège (employés) :
Titulaires :
M. Said BAHOUM HABOUZIT
Mr. Pierre Yves LE MERDY
Mme Marlène SCHOLTZ
Sylvie MARTINEZ
Suppléants :
M. Dimitri SUZANNE-AYCAGUER
M. Stéphane GUEYLARD
Mme Florence CATARD
Jérémy PATUREAU

 

Deuxième collège (non cadres) :
Titulaires :
Mme Lydia BENGHERADA SINEUS
Mme Bernadette LESTAGE
Mme Bénédicte BOYER DUROCHER
Mme Marie-Noëlle CASTAING
Mme Alexandra COLIN
Mme Mireille FRESTEL
Mme Aurore ROSETE
M. Hervé SCOLAN
Mme Aurore SZTUR
Suppléants :
M. Reynald ADEM
Mme Laure LORIMIER
Mme Alix TREVES
Mme Valérie DUARTE
Mme Clémence MUNSCH
Mme Fanny LE QUERE
M. Peter LOUBINEAUD
Mme Amandine BONNET

 

Troisième collège (cadres) :
Titulaires :
M. Olivier BERNARD (Trésorier)
Mme Caroline LALUQUE
Mme Julie BABIN-COMMENY
Mme Edwige APRETNA
Suppléants :
Mme Julie BLANCHI
M. François CHOMY
Mme Catherine DONAMARIA
M. Pascal CORREIA

 

Membres du Bureau du CSE
Secrétaire du CSE  : Mme Lydia BENGHERADA-SINEUS
Trésorier du CSE  : Mr Olivier BERNARD
Secrétaire Adjoint du CSE : Mme Marlène SCHOLTZ
Trésorière Adjointe du CSE : Mme Alexandra COLIN

Représentants syndicaux au C.E. :
Mr Laurent BERNARD (FO)
Mme C. CHAKIBA (CFE/CGC)
Mr Eric DANIEL (CGT)
Mr A. TAHRI (SUD)

Deux élus du CSE siègent au Conseil d’Administration de l’Institut Bergonié
M. Hervé SCOLAN
M. Olivier BERNARD

Liste des élus au CSSCT
Mr Saïd BAHOUM HABOUZIT
Mme Bénédicte BOYER DUROCHER
Mme Marlène SCHOLTZ
Mme Alexandra COLIN
Mr Peter LOUBINEAUD
Mme Julie BABIN-COMMENY


Commission
Formation
Commission
Logement
Commission
Egalité Professionnelle
Mme Aurore SZTUR
Mme Marlène SCHOLTZ
Mr François CHOMY
Mme Marie-Noëlle CASTAING
Mme Lydia BENGHERA SINEUS
Mr Olivier BERNARD
Mr Pierre Yves LE MERDY
Mme Caroline LALUQUE
Mme Aurore ROSETE

 


Commission
Mutuelle et Prévoyance
Commission
Proximité
Mme Mireille FRESTEL
Mme Bénédicte BOYER DUROCHER
Mr Olivier BERNARD
Mme Bénédicte BOYER DUROCHER
Mr Rédouanne MHEDDEN
Mme Camille CHAKIBA BRUGERE

Egalité Hommes / Femmes

L’Institut Bergonié a l’obligation de publier un index sur l’égalité entre les hommes et les femmes. Le rapport identifie 5 facteurs qui mesurent les écarts de traitement entre les hommes et les femmes au sein de l’Institut.

Les résultats sont disponibles. Avec un total de 89 points sur 100, l’Institut Bergonié atteint déjà une grande partie des objectifs d’égalité femmes-hommes, et remplit pleinement les exigences réglementaires.

Si après, vous pouvez consulter les notes obtenues à chacun des indicateurs :

1- écart de rémunération : 39/40 points
2- écarts d’augmentations individuelles : 20/20 points
3- écarts de promotions : 15/15 points
4- pourcentage de salariés augmentés au retour d’un congé maternité : 15/15 points
5- nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations : 0/10 points

L’index et les résultats feront l’objet d’une présentation à la prochaine réunion du CSE.

Par ailleurs, la loi « RIXAIN »  du 24 décembre 2021 visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle étend l’objectif de représentation équilibrée entre les femmes et les hommes aux cadres dirigeant(e)s et aux membres des instances dirigeantes depuis le 1er mars 2022.

Aussi, les données à l’Institut Bergonié permettant d’apprécier les écarts éventuels de représentation entre les femmes et les hommes au titre de l’année 2023 sont les suivantes:  :

  1. Le pourcentage de femmes parmi l’ensemble des cadres dirigeants : 45.7 % ;
  2. Le pourcentage d’hommes parmi l’ensemble des cadres dirigeants : 54.3 % ;
  3. Le pourcentage de femmes parmi l’ensemble des membres des instances dirigeantes (CA + Conseil de Direction+ CODIR) définies, y compris les personnes non salariées : 40.7 % ;
  4. Le pourcentage d’hommes parmi l’ensemble des membres des instances dirigeantes (CA+ Conseil de Direction+ CODIR),y compris les personnes non salariées : 59.3 %.

Avec une proportion minimale d’au moins 30% de personnes de chaque sexe parmi les cadres dirigeants et les membres des instances dirigeantes, l’Institut BERGONIE répond aux objectifs de la loi RIXAIN fixés pour 2026.

Mise à jour : 26 février 2024

Pas de
dépassement d’honoraires

Une prise en
charge globale
et personnalisée

Une équipe pluridisciplinaire à votre écoute

“Le cancer est une maladie chronique. Demain, les malades passeront moins de temps à l’hôpital, rentreront plus vite chez eux ou seront traités à domicile.”

UNICANCER réunit l’ensemble des Centres de Lutte Contre le Cancer (CLCC), dont l’Institut Bergonié. Voici quelques succès qui ont marqué son actualité en 2016.

 

 

LE FUTUR DE LA CANCÉROLOGIE À LA LOUPE

A deux reprises, UNICANCER a mené une vaste étude pour identifier les évolutions qui attendent les établissements prenant en charge les cancers. Un des grands chantiers de 2016 a été d’élargir cette réflexion stratégique à trois thèmes clés : les évolutions du rôle du patient, des technologies et des liens avec les autres établissements de santé. A quoi ressembleront-ils en 2025 ? Répondre à cette question permet de prévoir les adaptations qui s’imposent pour les Centres de Lutte Contre le Cancer, pour mieux les accompagner dans cette transition, mais aussi pour les autres acteurs de la cancérologie.

UNICANCER, UNE MARQUE QUI A SU S’IMPOSER EN B TO B

UNICANCER a mené en 2016 sa première étude d’image et de notoriété 5 ans après la création de la marque UNICANCER. Il en ressort que le modèle des Centres de Lutte Contre le Cancer est perçu comme pionnier. Les partenaires économiques et institutionnels interrogés trouvent également le nom d’UNICANCER très pertinent.
Cette étude a été mutualisée et les 3/4 des Centres ont ainsi pu mesurer leur image et leur notoriété sur leur territoire. L’étude a également montré que 60 à 80 % des professionnels de santé peuvent citer le Centre de leur région. Une notoriété essentielle pour l’adressage, qui assoit le rôle de centre de référence et de recours des CLCC.

1ER EN FRANCE ET 5ÈME DANS LE MONDE POUR LE NOMBRE DE PUBLICATIONS EN ONCOLOGIE

UNICANCER et les Centres de Lutte Contre le Cancer publient davantage, et gagnent en visibilité internationale. C’est le résultat d’une étude de Thomson Reuters sur les articles scientifiques parus entre 2010 et 2015. UNICANCER et les Centres ont publié plus de 2 400 articles par an, en hausse de 24 % par rapport à 2008-2012. Surtout, leur influence s’accroit : ils sont davantage cités. Ils se placent 11ème dans le monde et premier en France, devançant l’INSERM au classement comptant les 1 % des publications les plus citées en oncologie. Ils rivalisent avec les plus grandes institutions mondiales, se classant 5ème pour le nombre de publications sur ce thème, devant les National Institutes of Health américains.

11 MILLIONS D’ÉCONOMIES

UNICANCER Achats a permis à l’ensemble des Centres d’économiser 11,4 millions d’euros (gains sur achats calculés par les CLCC et remontés à la direction générale de l’offre de soins). Les principales économies viennent des marchés passés sur les médicaments, les gaz et fluides médicaux et des assurances sur les dommages aux biens.

 

En savoir plus : www.unicancer.fr