Aller au contenu

Composition de l’unité :

La maladie et les traitements associés peuvent engendrer une fatigue bien naturelle. Or, contrairement aux idées reçues, pratiquer, à son rythme, une activité physique à un intérêt pendant mais aussi après les soins.

L’inactivité entraîne une fonte musculaire. Le mouvement va permettre de maintenir une capacité physique minimale et ainsi aider à mieux supporter les traitements.

L’activité physique ne veut pas forcément dire faire du sport de manière intensive !

Elle inclut des activités simples de la vie quotidienne telles que marcher, prendre les escaliers, faire les tâches domestiques (ménage, bricolage, jardinage, …). Le retour à une activité physique doit correspondre à vos capacités du moment. Elle doit se faire progressivement et à votre rythme.

L’activité physique a un effet bénéfique sur la fatigue, les douleurs, le sommeil, l’anxiété et la dépression. Elle aide à lutter contre certains effets indésirables et améliore de façon sensible la qualité de vie pendant les soins.

Bouger c’est (re)devenir acteur en se réappropriant son corps. Cela permet un retour vers une dynamique positive contribuant à améliorer la sensation de bien-être et l’estime de soi.